"L'embuscade ne tournait pas à notre avantage, les xenos opposaient une résistance plus importante que prévue. Et une nouvelle colonne nous est tombé dessus par derrière. La situation devenait désespérée. Puis ils sont apparus, des silhouettes fantomatiques, en armure énergétique, couvert de flamme et de tête de mort. Un dreadnought était également en support." Extrait du rapport de la Chasse sur Oni Sura du 1er Lieutenant Kubilaï.
Une fois n'est pas coutume, ce billet à pour origine le fluff des White Scars et un intérêt particulier pour les dreadnought. Les White Scars répugnent à les utiliser par croyance car l'armure dreadnought enfermerait l'âme des guerriers après la mort du corps, l'empêchant de parcourir les steppes.
A partir de là, ne me résignant pas à commencer un autre chapitre, j'ai eu l'idée de le peindre aux couleurs de la Légion des Damnés. Comme les légionnaires, il fallait alors jouer le dread en frappe en profondeur, pour représenter le fait qu'ils apparaissent à un moment indéterminé (Réserve). Il ne restait qu'à lui faire un Drop Pod. Mais bon, un drop pod classique pour représenter une apparition fantomatique, il y a mieux. Du coup, rien de tel qu'un son et lumières, flammes et fumées.
Une fois n'est pas coutume, ce billet à pour origine le fluff des White Scars et un intérêt particulier pour les dreadnought. Les White Scars répugnent à les utiliser par croyance car l'armure dreadnought enfermerait l'âme des guerriers après la mort du corps, l'empêchant de parcourir les steppes.
A partir de là, ne me résignant pas à commencer un autre chapitre, j'ai eu l'idée de le peindre aux couleurs de la Légion des Damnés. Comme les légionnaires, il fallait alors jouer le dread en frappe en profondeur, pour représenter le fait qu'ils apparaissent à un moment indéterminé (Réserve). Il ne restait qu'à lui faire un Drop Pod. Mais bon, un drop pod classique pour représenter une apparition fantomatique, il y a mieux. Du coup, rien de tel qu'un son et lumières, flammes et fumées.
J'ai découpé un cercle de 9 cm de diamètre dans une plaque de médium de 3 mm d'épaisseur. Des fils de cuivre ont été ajoutés puis enrobés de greenstuff.
Du coton est ensuite ajouté puis collé à l'aide de colle à bois, diluée dans un vaporisateur type lave-vitre. Avec la bonne dilution, on arrive à obtenir un voile suffisamment large pour coller le coton mais ne pas trop le déformer.
Après quelques ajouts de coton, on peut peindre le tout, d'abord en noir par dessous, puis en blanc pour peindre le socle et le reste.
A suivre...
C'est fumeux.
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